L’opération de désencombrement effectuée par la Ville de Rufisque depuis quelques jours, suscite des remous au sein des populations. Purger la vieille cité de ses échoppes, étals, des taxis clandos, de l’anarchie ambiante aurait dû être un acte libérateur. Mais à la lecture de la situation sur le terrain, il se trouve que non.