L’attaque armée survenue à quelques rues de la Maison Blanche a secoué la capitale américaine, déjà marquée par un climat politique explosif. Deux soldats de la Garde nationale ont été grièvement blessés lorsqu’un homme armé a ouvert le feu sur leur patrouille.

 

Les enquêteurs ont rapidement identifié le suspect, un homme radicalisé selon les premières conclusions, arrêté après une brève chasse à l’homme. Le président a qualifié l’attaque d’« acte terroriste », appelant à un renforcement des mesures de sécurité fédérales. Dans la ville, le déploiement de troupes supplémentaires et la multiplication des barrages ont transformé le centre en zone quasi militarisée.

Au-delà de l’émotion, l’incident relance un débat sensible aux États-Unis ainsi que celui de la sécurité intérieure, du contrôle des armes et de la radicalisation violente.