Du piratage à la léthargie notée dans l’industrie musicale au Sénégal, en passant par l’absence de réseaux de distribution et les limites notés dans la mission de la Sodav, Coumba Gawlo Seck reste d’avis que les chantiers sont encore légion dans le milieu artistique.

Invitée de la rédaction du journal Le Soleil, l’interprète de «Terrou Waar», du nom de son nouvel album, trouve aussi «désolant» le manque de formation et d’organisation de certains de ses pairs qui ne connaissent pas leurs droits et sont, de ce fait, exploités.

«Par exemple, je pense qu’il doit y avoir, à l’ère du tout digital, plus de transparence dans le calcul des droits d’auteur pour permettre aux artistes de leur métier. Car, personne ne peut vivre avec 150000, 300000 ou 800000 Fcfa», croit savoir Coumba Gawlo Seck.

 

Auteur: Seneweb