Birahim Seck n’est pas resté inaltéré face aux durcissements des sanctions et décisions de la CEDEAO sur le Mali et la Guinée. Selon le coordonnateur du Forum Civil, la CEDEAO demande à un régime d’exception (Mali) d’organiser des élections dès février 2022 alors qu’un régime légalement assis (Sénégal) n’a pas organisé les élections locales à date échue par des arrangements internes sous couvert de dialogue politicien.

«La CEDEAO dit vouloir renforcer le dialogue avec les Autorités de la transition de Guinée en décidant de nommer SE le Dr Mouhamed Ibn Chambas comme envoyé spécial et se permet de prendre des sanctions personnalisées ( interdiction de voyages, gel des avoir financiers des membres de la CNRD). Incohérences». Évoque le coordonateur du Forum Civil.

«Les peuples du Mali et de Guinée ont toujours fait montre de courage, de dignité et de détermination au moment où la CEDEAO était muette lors des tueries et des brimades.
Il faut de la prudence avec le Mali et la Guinée. Qui a intérêt à l’embrasement de l’ Afrique de l’ouest?». Questionne t-il.